Le monde de l’édition tremble, il est frileux.
Il y a des années comme ça qui sentent le vin aigre et le chat crevé, je crois que je vais me trouver un trou dans un arbre au fond de mon jardin et m’endormir pour quelques années. Attendre que ça passe.
Dans les allées du salon de Montreuil, cette année, ça sentait le pipi tiède et le fond du sac des commissions. Tout le monde regardait ses godasses, serrait les fesses, ou mâchouillait les capuchons de stylo Bic. Doit-on attendre la révolution « numérique » pour rebooster la création ?