Le lecteur a peur du vide, il a peur des points de suspension. En général.
Lorsque j’ai écrit Yakouba en décidant de faire une fin « ouverte », beaucoup de mes petits lecteurs étaient frustrés. Que se passait-il après ? me demandaient -ils. Je leur ai donc concédé une suite, Kibwé, mais encore une fois avec une fin en point de suspension. On ne se refait pas.
Voici Yakoubwé le dernier tome de cette trilogie africaine.
Et la fin me direz vous ? Elle est « bouclée ». Au propre comme au figuré.
Bonne lecture.